La sagesse de nos ancêtres

Ne supposez pas que nos ancêtres, d’un si petit commencement, aient élevé le république à la grandeur simplement par la force des armes. Si tel avait été le cas, nous devrions profitez-en dans un excellent état; pour les alliés et les citoyens, ainsi que des armes et chevaux, nous avons une abondance beaucoup plus grande que ce qu’ils avaient. Mais il y avait d’autres des choses qui les ont rendues grandes, mais qui parmi nous n’existent pas; tel que l’industrie chez soi, un gouvernement équitable à l’étranger et des membres impartiaux du conseil, sans influence d’aucun sentiment immoral ou inapproprié. Au lieu de telles vertus, nous avons le luxe et l’avarice; détresse publique et superflu privé; nous louons la richesse, et céder à l’indolence; aucune distinction n’est faite entre bons et méchants; et ambi- tion usurpe les honneurs dus à la vertu. Ce n’est pas merveilleux non plus; puisque vous étudiez chaque son intérêt individuel, et depuis chez vous, vous êtes esclaves du plaisir, et ici pour argent ou faveur; et par conséquent, il arrive qu’une attaque soit faite sur les sans défense Etat. Mais sur ces sujets je ne dirai pas plus. Certains citoyens, du plus haut rang, ont conspiré pour ruiner leur pays; ils engagent les Gaulois, le bit- les ennemis du nom romain, à se joindre à la guerre contre nous; le chef de l’ennemi est prêt à descendre sur nous; et vous hésitez, même dans de telles circonstances positions, comment traiter les incendiaires armés arrêtés entre vos murs? je te conseille de ayez pitié d’eux; ce sont des jeunes hommes égarés par l’ambassade tions; les renvoyer, même avec les bras dans les mains. Mais telle miséricorde et telle la clémence, si elles tournent ces bras contre vous, finira dans la misère pour vous. le le cas est assurément dangereux, mais vous ne le craignez pas; oui, vous le craignez beaucoup, mais vous hésiter à agir, par faiblesse et par manque d’esprit, en s’attendant les uns les autres, et confiant aux dieux immortels, qui ont si souvent préservé votre pays dans le plus grands dangers. Mais la protection des dieux ne s’obtient pas par des voeux et des tentatives débutant des supplications; c’est par la vigilance, l’activité et des mesures prudentes que le général le bien-être est sécurisé. Quand vous êtes une fois résigné à la paresse et à l’indolence, c’est en vain que vous imploriez les dieux; car ils sont alors indignés et menacent de vengeance. À l’époque de nos ancêtres, Titus Manlius Torquatus, lors d’une guerre avec les Gaulois, a ordonné que son propre fils soit mis à mort, parce qu’il s’était battu avec un ennemi contrairement aux ordres. Cette noble jeunesse a souffert pour excès de courage; et fait vous hésitez quelle phrase à passer sur le plus inhumain des traîtres? Peut-être leur la vie antérieure est en contradiction avec leur crime actuel. Epargnez donc la dignité de Lentu- lus, s’il a déjà épargné son honneur ou son caractère, ou qu’il ait eu égard aux dieux ou pour hommes. Pardon à la jeunesse de Cethegus, à moins que ce ne soit la deuxième fois qu’il a fait la guerre à son pays. Quant à Gabinius, Statilius, Cœparius, pourquoi devrais-je faire une remarque sur eux? Avaient-ils jamais possédé la plus petite part de discrimination? cretion, ils ne se seraient jamais engagés dans un tel complot contre leur pays. En conclusion, pères conscrits, s’il était temps de modifier une erreur, je pourrais souffrez facilement, puisque vous ignorez les mots, d’être corrigé par l’expérience de conséquences. Mais nous sommes assaillis par des dangers de tous les côtés; Catiline, avec son armée, est prêt à nous dévorer; alors qu’il y a d’autres ennemis dans les murs et dans le coeur de la ville; aucune mesure ne peut être prise, ni aucun plan mis en place, sans leur connaissance.