Chypre: un sommet stratégique

Ancienne colonie du Royaume-Uni, Chypre est devenue impartiale en 1960, après de nombreuses années de résistance à la pointe du Royaume-Uni. Le stress entre votre vaste majorité chypriote grecque antique et les quartiers de la minorité chypriote turque est arrivé à son terme en décembre 1963, lorsque des abus ont éclaté dans les fonds de Nicosie. Malgré la mise en place de soldats de la paix des Nations Unies en 1964, des attaques intercommunautaires sporadiques se sont poursuivies, forçant la plupart des Chypriotes turcs dans des enclaves à travers l’île tropicale. En 1974, une tentative de renversement du directeur élu de Chypre, parrainée par le gouvernement grec, a été satisfaite par l’intervention de l’armée turque, qui, dans un proche avenir, en a traité plus d’une sur l’île tropicale. En 1983, la zone administrée par les Chypriotes turcs a signalé à elle seule la « République turque de Chypre-Nord » (« TRNC »), mais elle n’est identifiée que par la volaille. Un accord médiatisé par l’ONU, le programme Annan, a négligé de réussir l’autorisation de chaque communauté en 2004. En février 2014, juste après une interruption de près de 2 ans, les chefs de file de ces deux communautés ont repris les discussions officielles sous les auspices des Nations Unies visant à réunir les île fendue. Le cycle de négociations le plus récent sur les conditions de réunification de la région a été interrompu en juillet 2017 à la suite d’un dysfonctionnement pour atteindre un niveau de pointe. L’île tropicale complète est entrée dans l’UE le 1er mai 2004, même si l’acquis de l’UE – nos organes de droits et responsabilités légaux fréquents – n’est vrai que dans les zones relevant du gouvernement fédéral mondialement reconnu, et est suspendu dans la communauté administrée par les Chypriotes turcs. Néanmoins, les Chypriotes turcs personnels capables de déposer leurs qualifications pour la citoyenneté de la République de Chypre jouissent légalement des mêmes droits que ceux accordés aux autres résidents des demandes de l’UE. Tout au long des cinq premières années du compte de l’UE, le système économique chypriote est devenu à un niveau régulier d’environ 4%, avec un chômage de 2004 et 2008 en moyenne d’environ 4%. Cependant, le système économique a basculé dans la dépression économique en 2009 comme étant la crise économique mondiale actuelle et les besoins très faibles qui en ont résulté pour les secteurs du marché du tourisme et de la construction. Un champ financier sur-étendu avec trop d’exposition à la dette grecque inclus dans la contraction. Les deux plus grandes institutions financières de Chypre figuraient en fait parmi les plus grands stands de connexions grecques anciennes en Europe, ainsi qu’une présence substantielle en Grèce par le biais de succursales et de filiales d’arbres d’institutions financières. En adhérant à un certain nombre de dégradations de sa cote de crédit, Chypre a déplacé l’utilisation des marchés monétaires mondiaux en mai 2011. En juillet 2012, Chypre était devenue la 5e autorité de la zone euro à exiger un programme de sauvetage économique du paiement de la Commission européenne, Western Central Banque et aussi le Fonds économique outre-mer – reconnu conjointement comme la «Troïka».